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Aménagement des voiries de Bobo : «Aucun projet annoncé par le ministre n’est resté sans suite»

 

Dans notre livraison du jeudi 28 mars 2019, sous la rubrique « La semaine à Sya », nous évoquions les travaux de voiries de Bobo-Dioulasso.

 

Si dans son article le journaliste s’est félicité de l’effectivité du projet de bitumage des principales artères de la ville, il a néanmoins fait cas de celui de l’avenue de l’Insurrection populaire resté sans suite.

 

Par le présent droit de réponse, le ministère des Infrastructures nous apprend que tel n’est pas le cas car au terme d’un appel d’offres international, une entreprise a déjà été sélectionnée pour la réalisation des travaux de construction et de bitumage de ladite avenue.

 

 

 

 

« Dans votre livraison du jeudi 28 mars 2019, vous titriez  à la Une : « Bobo-Dioulasso : ces projets sans suite du ministre Bougouma qui fâchent ». Dans l’article, le journaliste déclare qu’en fin 2017, le ministre des infrastructures annonçait des travaux de voiries urbaines au centre-ville de Bobo-Dioulasso, à Sarfalao et au secteur 24 de la ville de Sya. Il ajoute que si les principales artères sont aujourd’hui effectivement revêtues de bitume, tel n’est toujours pas le cas de l’avenue de l’Insurrection populaire à Sarfalao.

 

Le ministère des Infrastructures, très surpris par cet article, rassure les populations de la ville de Sya que contrairement à ce qui est écrit dans le journal, aucun projet annoncé par le ministre n’est resté sans suite.

 

En effet, pour les travaux de construction et de bitumage de l’avenue de l’Insurrection populaire, l’entreprise a déjà été sélectionnée au terme d’une procédure d’appel d’offres international sur financement de la Banque ouest-africaine de développement (BOAD). Il s’agit du Groupement d’entreprises GJF/SEGNA BTP. La publication des résultats de cet appel d’offre a été faite dans les colonnes de L’Observateur Paalga du 26 mars 2019 à la page 16, ainsi que dans les quotidiens Sidwaya, Le Pays et Le Quotidien à la même date.

 

Le ministère déplore qu’un tel article ait été réalisé sans que son auteur ait approché la direction régionale des Infrastructures des Hauts-Bassins, ni la direction de la Communication du département, qui sont pourtant toujours disposées à fournir les informations aux journalistes pour les besoins de leur travail. »

 

 

 

La direction de la Communication

 

du ministère des Infrastructures

 

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