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Piratage des journaux : Les mises en garde de la SEP

La Société des éditeurs de la presse privée (SEP) s’indigne, dans la déclaration qui suit, du piratage des journaux. Elle rappelle que cette pratique tombe sous le coup de la loi tout en invitant les organes à ne pas se prêter à  ce jeu.

 

 

La Société des éditeurs de la presse privée (SEP) constate avec regret l’émergence du phénomène de piratage des journaux sur Internet (Facebook, WhatsApp, mailing List et autres).

En effet, des versions PDF, des articles ou des journaux scannés circulent sur les réseaux sociaux et sont partagés entre plusieurs personnes au préjudice des entreprises de presse.

La SEP rappelle que cette diffusion à grande échelle est illégale et les auteurs et complices de tels actes sont passibles de poursuites judiciaires.  En effet, la loi N° 032/99/AN du 22 décembre 1999 portant protection de la propriété littéraire et artistique interdit formellement ces pratiques qui, du reste, sont préjudiciables à la survie des entreprises de presse écrite. Les journaux traversent en effet actuellement une période difficile du fait du coût très élevé des intrants de production et de la faiblesse du marché publicitaire. 

La SEP invite donc les fidèles lecteurs et l’ensemble des usagers des productions de ses membres à ne pas encourager ces comportements qui pourraient entraîner la disparition de certains titres dans les kiosques à journaux et dans l’espace démocratique.

Ensemble, sauvegardons les outils d’expression en disant NON au piratage des journaux !

Pour la SEP

Le Bureau exécutif

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