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Education (32)

Résultats baccalauréat 2022 : Le MENAPLN valide son examen d’essai

 

Depuis hier 30 juin 2022, les élèves de terminale du Burkina sont fixés sur leur sort. Comme de coutume, joies et peines étaient au rendez-vous lors des proclamations des résultats. La particularité de la session de 2022 du Bac, c’est l’organisation de cet examen par le ministère de l’Education nationale. Il y a aussi le fait que la présidence de certains jurys a été assurée par des enseignants du secondaire comme ce fut le cas au Vénégré et au Bambata. Pour les responsables dans ces lycées,  pour une première expérience, le pari a été réussi.   

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Examens scolaires 2022 : Lionel Bilgo sonne la cloche depuis Kombissiri

 

Les candidats à l’examen du Certificat d’études primaires (CEP) planchent depuis le mardi 7 juin 2022 pour le premier examen qui leur ouvre les portes des collèges. Le ministre de l’Education nationale,  de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales, Lionel Bilgo, a procédé  au lancement officiel des épreuves à l’école primaire de Kombissiri « B »,  dans la région du Centre- Sud. Au total, 431 761 candidats  répartis dans  1925 centres qui prennent part à cette session sur l’étendue du territoire national.

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Lycée scientifique de Ouahigouya : En état de délabrement avant la réception définitive

 

Dans le cadre du Plan de développement économique et social (PNDES) au cours du premier mandat du président déchu Roch Marc Christian Kaboré, il a été prévu la construction de lycées scientifiques dans les 13 régions. Les infrastructures de celui de la région du Nord, alors même qu’elles n’ont pas encore été  réceptionnées définitivement, sont  déjà abandonnées  et dans un état de délabrement. Constat.

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lycée Zinda : Grille de lecture du personnel

 

La décision de fermer le lycée Philippe Zinda Kaboré à quelques jours de la rentrée scolaire ne cesse d’alimenter les débats. Le jeudi 2 septembre 2021, le personnel dudit établissement, qui ne partage pas le point de vue des décideurs sur ce sujet, ont donné de la voix. Selon les conférenciers, les raisons invoquées par le ministre Stanislas Ouaro, à savoir la réduction de la distance parcourue par les élèves, le saccage des tables-bancs et le non-fonctionnement du lycée, ne résistent pas à l’analyse.

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Examens scolaires 2021 : Sous les auspices de Saint Viateur

 

Après 9 mois de travail acharné, les candidats  aux CEP, CAP, BEP et BEPC ont été appelés à faire valoir tout ce qu’ils ont accumulé comme savoir durant   toute l’année scolaire. C’est à cet effet qu’ont débuté  les épreuves écrites desdits examens. Pour cette session dont le lancement est intervenu  le mardi 22 juin 2021, c’est le groupe scolaire Saint Viateur de Ouagadougou qui a eu l’honneur d’abriter l’ouverture des premières enveloppes (l’une contenant l’épreuve de la rédaction pour le CM2 et l’autre, la dictée pour la 3e) par le ministre de l’Education nationale et sa délégation.  A l’issue  des premières disciplines, le sentiment des candidats est mitigé : certains sont positifs et voient déjà leur nom sur la liste des admis tandis que d’autres n’hésitent pas à « affirmer que les choses débutent mal  pour eux.   

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Manifestations des élèves contre les réformes : Le ministre Ouaro les invite à se concentrer sur les examens de fin d’année

 

En prélude à la tenue des assises nationales sur l’éducation, le ministre de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales, Stanislas Ouaro, a été reçu en audience par le président du Conseil économique et social (CES), Moïse Napon, et ses collaborateurs. La rencontre avait pour objectifs non seulement de donner aux conseillers de plus amples informations sur l’organisation de ces assises, mais aussi de les impliquer dans la réflexion qui sera menée à ce propos. Réagissant sur la manif des élèves la veille, le Pr Ouaro les a invités à se concentrer sur les examens de fin d’année scolaire la rencontre a eu lieu le mardi 4 mai 2021 dans les locaux du CES à Ouagadougou. 

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Résultats Bac 2020 : «A nous le FONER !»

Voici venu le moment tant redouté par tous les candidats aux examens et concours : la proclamation des résultats. Les élèves de la classe de terminale ont passé cette dure épreuve le jeudi 13 août 2020 au Burkina. « A nous le FONER », s’extasiait une candidate admise juchée à l’arrière d’une moto. Elle se voit déjà bénéficiaire du Fonds national pour l’éducation et la recherche (FONER), l’aide que l’Etat octroie aux étudiants non boursiers. Ambiance de cette journée pleine d’émotion au lycée Bogodogo de Ouagadougou.

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Boursiers burkinabè en Inde : «Ils seront rapatriés dès le 22 février» (Pr Alkassoum Maiga, ministres des Enseignements supérieurs)

 

Dans l’après-midi du 17 février 2020, le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, le Pr Alkassoum Maïga, nous a accordé une interview sur la situation des 16 étudiants burkinabè en Inde, précisément au Godavari institute of engeneering and technology (GEIT). Partis en 2018 au pays de Mahamat Gandhi pour y poursuivre des études dans les domaines de la mécanique, de l’électricité et de l’électromécanique, ils se sont fait entendre ces temps-ci, par voie de presse, en décriant leurs conditions de vie et d’études. Ils cohabiteraient avec toutes sortes de reptiles et d’animaux sauvages et recevraient leurs enseignements en telegu, un dialecte local. Mais selon le ministre, il y a simplement un montage grotesque autour de cette affaire. Il a par ailleurs indiqué que les Indiens ont souhaité que ces étudiants rentrent au pays dès le 22 février prochain.   

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IUTS : Genèse d’un impôt avec un de ses géniteurs

 

Il a fait partie, entre 1966 et 1970, des vingt-cinq membres de la Commission de la fiscalité mise en place par le ministre des Finances d’alors, le célèbre intendant militaire Tiémoko Marc Garango ; commission  dont les travaux ont abouti à la création de ce qui a été baptisé Impôt unique sur les traitements et salaires (IUTS), une parade qui avait été trouvée pour pallier le faible taux de recouvrement de l’impôt qui, jusqu’à cette date, se faisait par la procédure de la déclaration annuelle et personnelle des revenus des travailleurs. Bien qu’étant à la retraite depuis 28 années, tonton Pascal Bonkoungou, puisque c’est de lui qu’il s’agit, ancien administrateur des services financiers, n’a rien perdu de ses réflexes dans son domaine de prédilection et surtout aucun document de son passage dans l’administration financière ; lui qui s’est constitué un bureau d’archives à son domicile de Kamsaoghin à Ouagadougou. C’est d’ailleurs à l’issue d’une brève visite en ces lieux, considérés comme sa mémoire dans la fonction publique nationale et sous-régionale, qu’il nous a reçus, le 4 février 2020, pour parler de cet impôt qui fait couler beaucoup d’encre et de salive ces derniers temps. Le Code général des impôts 2018, bien en exergue dans ses documents réunis pour la circonstance, Pascal Bonkoungou a déclaré que  l’application de l’IUTS aux primes et indemnités des travailleurs du public n’est que justice même s’il relève une mauvaise communication sur cette affaire.

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