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Mosquée détruite à Pazanni : Le terrain litigieux attribué à la FAIB

 

Cher Wambi,

 

 Dans sa publication en ligne du lundi 3 mai 2021 réservée à ses abonnés et intitulée : «Burkina : Kaboré met la pression sur ses ministres », notre confrère «Jeune Afrique » évoque des  contrats de performance que le chef de l’Etat burkinabè, Roch Marc Christian Kaboré, a fait signer par chacun de ses ministres.

 

 

Cette option du premier magistrat du pays a pour objet de mettre ses collaborateurs de l’exécutif devant leurs responsabilités individuelles respectives.

 

On ne peut que se réjouir de cette initiative qui traduit sans nul doute le souci du président du Faso d’améliorer l’efficacité du travail gouvernemental et, subséquemment, de tenir ses engagements pris pour les cinq prochaines années. Cela passe, entre autres, par la culture de la redevabilité au niveau de chaque maillon de la chaîne de l’exécutif.

 

Cher Cousin, autant je me félicite de ce tournant que le président Kaboré entend opérer dans la conduite des affaires publiques, autant avec ma modeste voix, je voudrais l’exhorter à être plus regardant sur la vénalité de certains de ses ministres qui se comportent en véritables Rapetou, même devant l’Eternel, et s’en vantent sous les chaumières.

 

Certes, il n’y a pas de moment de tolérance à la prévarication, mais dans ce contexte de crises sécuritaire et sanitaire qui caractérise le Burkina Faso, de telles pratiques relèvent à la fois de l’indécence et du mépris.

 

Alors que le terrorisme a contraint des centaines de milliers de Burkinabè à abandonner leurs villages et leurs activités économiques, alors que la puissance publique et ses partenaires techniques et financiers sont à la peine pour prendre en charge toutes ces personnes déplacées, certains grands commis de l’Etat, dont je préfère taire le nom pour le moment, se comportent en princes de la République par leur appétence pour le confort matériel indu.

 

C’est le cas, par exemple de cette course effrénée à l’acquisition de biens immobiliers aussi bien dans certaines capitales de la sous-région qu’en Europe et même dans certains Etats arabes.

 

Cher Wambi, j’ai appris qu’en l’espèce, les autorités sénégalaises ont finalement appelé certains de nos ministres à la modération et à la discrétion.

 

Pendant ce temps, d’autres encore, par le truchement de prête-noms et autres subterfuges, sont devenus de richissimes hommes d’affaires qui s’adjugent de gros marchés publics et s’offrent des véhicules dont le niveau de sécurité  tutoie celui des chefs d’Etat.

 

Même dans les secteurs de la Sécurité et de la Défense, les gens se gavent littéralement sans la moindre pudeur.

 

Cher cousin, en parlant de tout cela, loin de moi l’intention de jeter l’opprobre sur l’ensemble du gouvernement. Non, non et non. Je connais des ministres dont la probité morale et le sens de la responsabilité forcent l’admiration.

 

J’en connais également dont le patrimoine, aussi important soit-il, ne saurait scandaliser outre mesure, puisque avant leur entrée dans le gouvernement ils étaient déjà riches comme Crésus.

 

Si je parle de tout cela, c’est parce que de plus en plus des bruits de casseroles commencent à remonter et cela conforte la perception de tous ceux qui estiment que rien n’a véritablement  changé contrairement au mot d’ordre des insurgés : « Plus rien ne sera comme avant ».

 

Alors, il est grand temps que le chef de l’Etat recadre tous ses collaborateurs dont la voracité compromet la concrétisation du projet de société pour lequel il a été réélu au soir du 22 novembre pour les cinq années à venir.

 

 

 

Cher Wambi, Zéphirin Diabré, le ministre d’Etat, ministre de la Réconciliation nationale et de la Cohésion sociale, est arrivé mardi dernier sur les bords de la lagune Ebrié où il a été reçu en audience par le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara. Zèph, qui était porteur d’un message du président Roch Marc Christian Kaboré a pu échanger avec le premier des Ivoiriens sur le renforcement de la coopération entre nos deux Etats. Voilà le côté officiel de ce voyage tel qu’annoncé par la présidence ivoirienne.

 

Cependant, il ne faut pas oublier qu’Abidjan est la ville où l’ex-président du Faso Blaise Compaoré a trouvé refuge après l’insurrection populaire d’octobre 2014 qui a renversé son pouvoir.

 

Et au moment où le thème de la réconciliation est en vogue à Ouagadougou, j’ai appris, de bonnes sources, que Zéphirin Diabré a mis à profit son séjour pour rencontrer Blaise. C’est donc le premier tête-à-tête entre l’ancien chef de l’Etat et un officiel burkinabè depuis qu’il a quitté le pouvoir.

 

Sans être dans le secret des dieux, je présume que leurs échanges ont porté sur la réconciliation nationale, dont la dynamique est déjà enclenchée avec la création d’un ministère d’Etat dédié. Zèph a-t-il simplement recueilli les avis de Blaise sur ce sujet ou lui a-t-il présenté des garanties suffisantes pour qu’il mette fin à son exil ivoirien ? Pour cette dernière interrogation, il faudra que Zéphirin fasse preuve de persuasion quand on sait que l’ancien président vient d’être renvoyé pour jugement devant le tribunal militaire de Ouagadougou dans le cadre du dossier de l’assassinat du capitaine Thomas Sankara.

 

Par contre, cher cousin, ce qui est sûr, c’est que Blaise Compaoré est une pièce maîtresse dont le sort est au cœur même de la dynamique de réconciliation que notre pays appelle de tous ses vœux au moment où la patrie est en proie à de sanglantes attaques terroristes et a donc besoin de l’unité de ses filles et fils pour faire bloc contre l’ennemi.

 

C’est pourquoi il faut saluer cette rencontre, que j’avais du reste annoncée dans cette même lettre dès la nomination de Zéphirin Diabré.

 

Après Blaise Compaoré, Zèph devrait également avoir des échanges avec certains de nos compatriotes qui se sont réfugiés en Côte d’Ivoire depuis les événements d’octobre 2014.

 

Difficile de savoir à quoi tout cela va aboutir, et c’est la raison pour laquelle le mardi dernier, lors de sa première conférence de presse en tant que chef de file de l’opposition, Eddie Komboïgo, répondant à une question sur la réconciliation nationale, avait déclaré : « On nous dit que Zéphirin Diabré est en voyage, nous espérons qu’il va amener de bonnes nouvelles ». Alors, croisons les doigts.

 

 

 

Cher Wambi, à présent, je t’invite à feuilleter avec moi le carnet secret de Tipoko l’Intrigante.

 

 

 

 

 

Le 7 septembre 2020 à Pazanni, un quartier de l’arrondissement no9 de Ouagadougou, a eu lieu la démolition d’une mosquée sur ordre d’un huissier. C’est ainsi que s’était soldé le différend qui opposait le responsable de ce lieu de culte à un particulier. Mais il n’en fallut pas plus pour ébranler des fidèles et susciter le courroux de certains, qui prévoyaient des manifestations pour exiger la reconstruction de cet édifice religieux au même endroit. Le dernier épisode est sans conteste la conférence de presse donnée par la Coordination des jeunes musulmans du Burkina (CJMB) le 1er mai courant pour annoncer une marche de protestation si rien n’était fait dans un mois. A travers le communiqué ci-dessous signé du ministre chargé des Cultes, voici ce qu’a décidé le gouvernement pour résoudre cette affaire : 

 

 

 

 

 

« Ministère de l’Administration

 

territoriale et de la Décentralisation

 

 

 

 

 

Communiqué du ministère d’Etat, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation

 

 

 

 

 

Depuis octobre 2020, une crise née de la démolition d’un édifice religieux à Pazanni, situé dans l’arrondissement 9 de la commune de  Ouagadougou, suite à l’exécution d’une décision de justice, affecte le climat social. A l’origine entre deux individus, la crise a par la suite eu des répercussions au sein de la population.

 

Cette situation a amené le gouvernement à prendre des mesures conservatoires à l’effet de préserver la paix et la cohésion sociale.

 

L’évolution de la crise ayant permis au gouvernement de mieux cerner les circonstances dans lesquelles celle-ci a éclaté et les enjeux qui l’entourent, le gouvernement décide de ce qui suit :

 

 

 

1) l’expropriation du terrain litigieux pour cause d’utilité publique ;

 

2) l’attribution dudit terrain à la Fédération des Associations Islamiques du Burkina (FAIB) à l’effet de permettre la réalisation de toute infrastructure ou toute activité en faveur de la communauté islamique ;

 

3) la cession d’un autre terrain à Monsieur Ouédraogo Jacques, attributaire légal du terrain litigieux, en guise de compensation.

 

 

 

Le gouvernement appelle chaque Burkinabè au respect strict de la législation et de la réglementation en matière foncière, quel que soit le motif invoqué.

 

Par ailleurs, il appelle chacun à la retenue et à la responsabilité individuelle afin que la paix et la cohésion sociale soient préservées en toute circonstance.

 

 

 

 

 

Pengdwendé Clément Sawadogo

 

Grand Officier de l’Ordre de l’Etalon

 

 

 

 

 

Dans notre édition N° 10 323 du lundi 12 avril 2021, nous avons fait cas d’un  détournement de l’assistance humanitaire des personnes déplacées internes à Pissila, une commune rurale de la province du Sanmatenga.

 

En rappel, plusieurs personnes avaient été déférées à la maison d’arrêt et de correction de Kaya suite à une enquête diligentée par la police judiciaire de ladite ville. Cette affaire, qui a défrayé la chronique a été examinée par le Tribunal de grande instance (TGI) de Kaya lors d’une audience publique qui s’est tenue le mercredi 5 mai 2021. Au total, sept accusés dont un employé de l’Action sociale mis à la disposition de la mairie de Pissila (Ndlr : le cerveau de l’affaire) et deux conseillers municipaux ont comparu devant les juges. On notait la présence des agents judiciaires de l’Etat et du Réseau national de lutte anticorruption (REN-LAC). Nommé R. G., le cerveau de l’affaire est poursuivi  pour « détournement de biens publics et corruption ». A la barre, ce dernier a d’abord rejeté les faits qui lui sont reprochés avant de les reconnaître.

 

Le  procureur a requis cinq ans de prison ferme et une amende de dix millions contre R.G. avec une confiscation de ses biens illicites ;  cinq ans de prison  soit trois ans ferme, ainsi qu’une peine de deux ans avec sursis et une amende de cinq millions contre un de ses acolytes qui est poursuivi  pour « complicité de détournement de biens publics et recèle » ; trois ans de prison et 500 000 F d’amende, le tout assorti de sursis, contre quatre accusés. Quant aux agents judiciaires de l’Etat, ils ont réclamé le remboursement de 11 305 000 F CFA  et une condamnation solidaire de 10 millions de francs CFA pour préjudice moral subi par l’Etat. Mis en délibéré, le verdict du procès, sera connu le 19 mai prochain. En attendant, on peut retenir comme fait marquant que ce procès a permis de situer les responsabilités dans cette affaire de détournement de l’aide destinée aux PDI et de blanchir les services décentralisés du ministère de l’Action humanitaire dans la région du Centre-Nord.

 

 

 

Sous l’égide des ressortissants du Sanmatenga vivant à San-Pedro en République de Côte d’Ivoire, Kaya, chef-lieu de la province du Sanmatenga, entretient depuis quelques années de bonnes relations avec la ville portuaire ivoirienne. Dans le cadre de ce partenariat, une délégation communale de la cité des cuirs et des brochettes au « koura Koura » conduite par son maire, Boukaré Ouédraogo, a participé à la 3e édition du festival  Saint-Pierre de San-Pedro de Côte d’Ivoire, qui s’est tenue du 23 au 25 avril 2021. Occasion  de retrouvailles initiée depuis 2019 par le maire de la ville, Anoblé Félix, ce festival vise à exposer et à vulgariser le potentiel culturel, économique, industriel et touristique de la région de San-Pedro. Les potentialités culturelles du Sanmatenga ont été valorisées lors de cette grande manifestation à travers une exposition-vente et des prestations de la cantatrice traditionnelle renommée, Habibou Sawadogo.  Composé de conseillers municipaux, de fonctionnaires municipaux et d’exposants, le grand groupe de la délégation kayalaise, qui s’était rendu à San-Pedro par la route à bord du minibus d’une ONG, a été victime malheureusement d’un braquage sur le chemin du retour. Selon les informations, les faits se sont produits dans la nuit du 26 avril sur l’axe Yamoussoukro-Bouaké. Toutes les victimes ont été dépossédées de leur argent et  de leurs objets de valeur. Les bandits armés ont aussi emporté les marchandises des exposants. A noter que certains membres de la délégation, dont le bourgmestre et l’artiste, ont effectué le voyage par avion.

 

 

 

 

 

40 jours après Pâques,  comme chaque année,  les   catholiques   burkinabè, à l’instar de leurs coreligionnaires du monde entier,  vont célébrer le jeudi  13 mai 2021 l’Ascension, qui commémore la montée du Christ au ciel après sa résurrection. Cela est, gravé dans le marbre du calendrier liturgique.

 

Plus incertaine  est la fête de l’Aïd el-fitr  qui clôt le  Ramadan, 9e mois du calendrier hégirien, mois saint par excellence chez les musulmans, en raison notamment de Laylat al-Qadr ou « Nuit du Destin ». Il faudra sans doute attendre que la commission nationale  d’observation de la  lune se réunisse le 11 mai prochain pour être définitivement situé, mais tout porte à croire que Ramadan et Ascension pourraient tomber le même jour ou à 24h d’intervalle. Ce ne serait d’ailleurs pas la première fois qu’une telle heureuse coïncidence se produirait ; que les planètes soient alignées parfaitement comme pour nous livrer un message subliminal : nous sommes tous des enfants d’Abraham, Père de tous les croyants,  et toutes les religions monothéistes boivent à la même source. Il n’y a donc pas de raison que  certains ne voient pas plus loin que le sommet de leur  minaret ou de leur   clocher.

 

Une vérité qu’il n’est certainement pas inutile de rappeler par ces temps troubles où des illuminés, qui sont loin  de refléter l’islam,   invoquent le nom d’Allah et de son Prophète (SAW) pour tuer froidement des innocents en plein mois de jeûne comme on l’a encore vu récemment à Pama et à Kodyel  dans le Gulmu.

 

 

 

Les férus des réseaux sociaux qui suivent de près le fil Twitter du président du Faso, Roch Kaboré, ont été très surpris du mutisme qu’il a observé le mardi 4 mai 2021 alors que ce jour-là, notre pays était tristement à la une de tous les médias nationaux et internationaux.

 

En effet, c’est ce jour-là qu’a été rendue publique l’information sur le drame de Kodyel au cours duquel les terroristes ont massacré une trentaine d’hommes dans cet hameau de culture de Foutouri, incendié des maisons et des greniers, saccagé le centre de santé et vidé le dépôt pharmaceutique.

 

Ce jour-là, sur son compte Twitter, les derniers tweets de Roch dataient de la veille, lundi 3 mai, et parlaient de la mort du fondateur de Jeune Afrique et de la liberté de la presse. Certes ces événements sont importants mais le drame de Kodyel l’est davantage ; voilà pourquoi on s’étonne que les communicants du président du Faso n’aient pas jugé utile de tweeter sur ce sujet.

 

Malheureusement, ce n’est pas la première fois qu’il y a une telle omission ou un tel silence sur le compte Twitter du président, car les exemples sont légion où Roch a passé sous silence des attaques terroristes qui ont lourdement endeuillé ses compatriotes.

 

 

 

En 2017, le projet de réhabilitation de la cathédrale Notre-Dame de Lourdes de Bobo-Dioulasso a été rendu public. Le coût des travaux a été estimé  à 761 millions de F CFA. L’aménagement des boutiques tout autour a été budgétisé à 350 millions, soit un montant total de 1,111 milliard de nos francs. Le diocèse s’est tourné vers les fidèles pour mobiliser les fonds. Mais après quatre ans de quête, on était encore loin du compte puisque seulement 250 millions ont été mobilisés.

 

Le reste des fonds a été apporté par la banque WendKuuni qui a opté d’accompagner la réalisation du projet. C’est ainsi que la banque d’Apollinaire Compaoré a accordé au diocèse un prêt sur 10 ans. L’opérateur économique a consenti ce prêt comme contribution en reconnaissance à la ville de Sya où il a bâti une partie de sa fortune.   

 

L’argent étant disponible, les travaux de rénovation ont débuté en juillet 2020. Après 10 mois de labeur, la cathédrale est fin prête. Elle sera résacralisée au cours d’une messe le dimanche 16 mai 2021. La célébration sera présidée par le cardinal-archevêque de Bamako, Mgr Jean Zerbo, assisté du cardinal Philippe Ouédraogo et du Nonce apostolique, le représentant du pape François.

 

Dans cette perspective, une neuvaine de prière a débuté le 4 mai et prendra fin le 12 avec la célébration de l’Ascension le 13.

 

Le reste du programme prévoit un dîner de gala le vendredi 14 mai à l’espace Dogona de 20h à 22h et un concert des chorales le samedi 15 mai dans la cour de la cathédrale à partir de 20h. Enfin, la grande messe de bénédiction aura lieu le dimanche 16 mai à partir de 9h.

 

 

 

Une ambiance particulière régnait à l’université de Ouagadougou le 4 mai 2021 avec le professeur Luc Marius Ibriga qui y a donné son dernier cours en tant qu’enseignant de droit public. Le contrôleur général d’Etat laisse en effet la craie après 29 ans de bons et loyaux services. Un moment que les étudiants ont saisi pour lui rendre un hommage mérité. Le jeune retraité, qui s’est dit très ému par cette reconnaissance, a déclaré que c’est le plus beau cadeau qu’on puisse faire à un enseignant. Les étudiants ont promis de prendre exemple sur leur enseignant qui a toujours fait preuve de rigueur et de probité dans son travail. Ibriga quittera aussi ses fonctions de contrôleur général d’Etat en septembre prochain.

 

 

 

Le samedi 8 mai 2021, la Communauté chrétienne de base (CCB) Saint-Joseph de Pissy sera en fête. En effet, ce jour elle a la joie de convier paroissiens et autres fidèles de l’archidiocèse de Ouagadougou à la bénédiction de sa chapelle à partir de 8 heures 30 minutes. La célébration liturgique sera suivie d’une série d’activités festives dont une kermesse à laquelle elle vous convie.

 

 

Tipoko l'Intrigante n'apprend rien d'elle-même, elle n'invente jamais rien. Tipoko l'Intrigante est un non-être. Elle n'est ni bonne en elle-même, ni mauvaise en elle-même. Elle fonctionne par intuition, car "l'intuition c'est la faculté qu'a une femme d'être sûre d'une chose sans en avoir la certitude..."

 

 

Ainsi va  la vie.

 

Au revoir.

 

 

 

Ton cousin

 

 Passek Taalé

 

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